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Nous ne sommes pas un fournisseur de services. Pour obtenir du soutien, consultez notre répertoire. Si vous êtes en détresse, appelez ou envoyez un texte au 9-8-8.

Les membres de la famille et les amis constituent la première ligne de soutien pour les membres des Forces armées canadiennes (FAC) et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), ainsi que pour les vétérans touchés par le trouble de stress post-traumatique (TSPT). Par « famille et amis », on entend ici un large éventail de personnes allant du conjoint aux enfants, en passant par les parents, les frères et sœurs et la famille élargie, en plus d’autres proches que l’on considère comme des membres de la famille ou des amis.

Bien qu’à titre de membre de la famille ou d’ami, vous n’ayez peut-être pas été témoin des événements traumatisants qu’a connus votre proche, vous êtes, vous aussi, susceptible d’en subir les conséquences. Or, sans soutien, il peut être ardu de venir en aide à un proche. Il est normal de se sentir isolé et épuisé, et de ressentir de la solitude et du stress lorsque l’on s’occupe d’un membre de la famille ou d’un ami atteint du TSPT. Vous avez, vous aussi, besoin de soutien et de ressources.

Signes et symptômes

Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) peut affecter à la fois votre santé mentale et votre santé physique. Il peut être causé par un seul ou plusieurs événements traumatisants.

La réaction de chaque personne à un événement traumatique est unique et deux personnes vivant le même événement sont susceptibles d’y réagir différemment. La façon de réagir du membre de votre famille ou de votre ami dépend de divers facteurs, notamment de son passé, de sa situation actuelle et de ses caractéristiques émotionnelles. Il est important de garder à l’esprit que le fait d’être traumatisé lorsque l’on est témoin d’un événement terrible ou que l’on vit une telle situation ne constitue aucunement un signe de faiblesse ou de fragilité. C’est tout à fait normal.

Si l’un de vos proches reçoit un diagnostic de TSPT, il est probable qu’il présente des symptômes dans chacune des quatre catégories suivantes :

  • Résurgence des sensations et des sentiments éprouvés lors du traumatisme
  • Évitementdes rappels du traumatisme
  • Persistance de pensées ou de sentiments négatifs à propos de soi-même, des personnes de son entourage, d’une situation ou d’un lieu
  • Manifestation de nervosité ou d’irritabilité, physique ou émotionnelle, sans raison (également connue sous le nom d’hyperexcitation)

Apprenez-en davantage au sujet des émotions que peut ressentir le membre de votre famille ou votre ami souffrant du TSPT en consultant notre page Web sur le TPST.

Répercussions sur les familles

Si l’un de vos proches est aux prises avec le TSPT, cela peut avoir des répercussions sur tous les membres de votre famille ou de votre cercle d’amis. Il est important d’être conscient de tels effets potentiels, afin de mieux comprendre ce que vous vivez et de faire appel à de l’aide supplémentaire au besoin.

Cette section est axée sur les répercussions générales avec lesquelles doivent composer les familles.

Les symptômes que présente le membre de votre famille ou votre ami peuvent engendrer des comportements que vous ne comprenez pas, et conduire à des situations qui sont pour vous difficiles à gérer. Peut-être vous sentez-vous responsable du bien-être de votre proche. Il peut être déconcertant de côtoyer une personne qui réagit impulsivement, qui est à bout de nerfs ou qui se montre agressive en raison de son TSPT. Il est normal de se sentir plus stressé qu’à l’habitude en pareille situation.

Il peut être ardu d’établir une véritable connexion avec votre proche en raison des symptômes qu’il manifeste, et il est possible que vous ressentiez une certaine distance dans votre relation avec lui. Peut-être avez-vous l’impression de marcher sur des œufs. Ces situations peuvent être particulièrement difficiles à comprendre pour les enfants et les amener à remettre en question l’amour de leur parent envers eux ou à se rebeller.

N’hésitez pas à demander de l’aide si vous en avez besoin.

Programme d’aide aux membres des Forces canadiennes [PAMFC] : 1-800-268-7708

Il est possible que la vie telle que vous la connaissez soit perturbée. Il se peut que vous deviez éviter certaines activités en raison des vives émotions qu’elles provoquent. Vos responsabilités et vos rôles habituels peuvent être appelés à évoluer suivant les moyens adoptés pour soutenir votre proche. Vous remarquerez peut-être qu’un de vos enfants assume un rôle de parent ou d’aidant. Rassurez votre enfant et expliquez-lui que son rôle à lui est d’être un enfant, même si les choses prennent une tournure inquiétante. Grandir trop vite peut avoir des effets négatifs sur votre enfant, non seulement pendant son développement, mais aussi plus tard au cours de sa vie.

Peut-être remarquez-vous que les pensées sombres, la tristesse, la colère et les sentiments de perte et de culpabilité se manifestent plus souvent. Il est normal de pleurer la perte de ce que vous aviez envisagé pour votre avenir. Il est normal de se sentir bouleversé par les changements survenus dans votre famille ou chez vos amis. Mais il existe de l’aide pour vous soutenir à travers une telle expérience et vous aider à mieux comprendre vos sentiments, à gérer votre retour au travail et à améliorer vos relations personnelles.

Si vous n’arrivez pas à trouver le temps de répondre à vos propres besoins, vous vous sentirez de plus en plus épuisé. On parlera alors d’épuisement, un problème qui peut être diagnostiqué et qui est souvent le résultat de l’exposition fréquente à des situations stressantes et difficiles sur le plan émotif. Surveillez vos mécanismes d’adaptation – si vous adoptez plus souvent des habitudes présentant des risques, comme la consommation d’alcool ou de tabac, et si vous n’arrivez pas à maintenir votre régime alimentaire ou votre programme d’exercices habituel, il est important de demander de l’aide.

L’usure de compassion s’installe lorsque l’on est constamment exposé à des situations difficiles sur le plan émotif. Peut-être constatez-vous qu’il vous est plus difficile d’avoir de l’empathie pour ce que ressent votre proche. Si tel est votre cas, pensez d’abord à votre propre bien-être et n’hésitez pas à demander de l’aide.

On parle de stress traumatique secondaire lorsque les effets du traumatisme de votre proche sur vous sont si intenses que vous présentez vous-même des symptômes de TSPT. Le traumatisme secondaire se manifeste souvent rapidement et de manière inattendue. Peut-être commencez-vous à imiter les comportements de votre proche, par exemple en étant constamment à l’affût de toute menace ou en sursautant au moindre bruit. Les enfants peuvent également présenter des signes de traumatisme secondaire.

Aimer et prendre soin d’une personne souffrant de TSPT est en soi un défi. Mais avec des stratégies d’adaptation et le soutien appropriés, cela peut aussi être l’occasion pour votre famille et votre communauté d’apprendre ce que sont la résilience, l’adaptabilité et l’empathie.

Vivre avec une personne souffrant du TSPT et la soutenir peut certes s’avérer difficile, mais une telle expérience peut aussi aider à bâtir des familles et des amitiés solides, résilientes, empathiques et capables d’adaptation. Vous et votre proche tirerez avantage à vous sensibiliser et à vous informer davantage au sujet du TSPT et des meilleures façons de réagir et de faire face aux situations difficiles. Vous pouvez par exemple apprendre à mieux communiquer l’un avec l’autre, à mieux définir vos priorités ou à gérer vos propres attentes. Cela peut d’ailleurs améliorer votre capacité d’adaptation face à de nombreux événements difficiles ou stressants de la vie.

Stratégies d’adaptation

Il est possible pour vous et votre proche d’apprendre à gérer les symptômes du TSPT, même ceux qui présentent les plus grands défis. Nous avons dressé la liste des stratégies d’adaptation reconnues pour les symptômes du TSPT dans l’espoir qu’elles vous aident dans votre cheminement.

Si vous pensez que votre sécurité ou celle d’une personne de votre entourage est en danger, appelez le 9-1-1 pour obtenir de l’aide.

De quoi s’agit-il?Par « flashback », on entend le fait de revivre le souvenir d’un événement traumatisant passé.

Un flashback peut amener le membre de votre famille ou votre ami à sentir et à agir comme si un traumatisme vécu dans le passé se produisait dans le moment présent. Il peut ainsi ressentir une dissociation ou un sentiment de détachement de son corps et en venir à sentir, à entendre, à voir et à ressentir des éléments du traumatisme passé.

Que faut-il faire?

  • Demeurez calme. Dites-lui que vous pensez qu’il vit un flashback
  • Dites-lui qu’il est en sécurité dans le moment présent et que le traumatisme fait partie du passé.
  • Rappelez-lui où il se trouve physiquement.
  • Évitez tout mouvement brusque et approchez-vous de lui lentement et face à lui, afin qu’il puisse vous voir venir vers lui;
  • Assurez-vous d’avoir sa permission avant de le toucher.
  • Encouragez-le à respirer lentement et profondément.

De quoi s’agit-il? Il s’agit de la difficulté persistante à s’endormir ou à demeurer endormi.

Les perturbations du sommeil comprennent non seulement l’insomnie, mais aussi des caractéristiques plus complexes, comme l’inversion des cycles du sommeil, la capacité de s’endormir sans toutefois demeurer endormi et le fait de dormir en position assise pour se sentir moins vulnérable.

Que faut-il faire?

Établir une routine de sommeil:

  • Assurez-vous de vous coucher à la même heure tous les soirs. En savoir plus (en anglais seul.)
  • Adonnez-vous à des activités apaisantes avant d’aller au lit. En savoir plus (en anglais seul.)
  • Minimisez toute exposition à des éléments susceptibles d’exacerber les symptômes avant le coucher, comme les médias sociaux, les actualités, les émissions de télévision et les conversations intenses.

Avec la collaboration de la Clinique pour traumatismes de stress opérationnel St. Joseph’s

De quoi s’agit-il? Les cauchemars sont des rêves d’apparence réelle et profondément angoissants.

Que faut-il faire?

  • Si le membre de votre famille ou votre ami fait un cauchemar, il est généralement recommandé de ne pas le réveiller, et ce, pour plusieurs raisons:
    1. Il est possible qu’il ne garde aucun souvenir de son cauchemar à son réveil, ce qui en atténue les effets;
    2. Le réveiller risque plutôt d’interrompre son sommeil (qui, bien souvent, est déjà compromis);
    3. Il est possible qu’il ne se réveille pas complètement et qu’il agisse comme s’il était toujours dans son rêve. Cela risque de mettre votre sécurité, comme la sienne, en danger.
  • Optez pour des lits séparés, voire des chambres distinctes;
  • Retirez les objets près du lit avec lesquels il pourrait se blesser ou blesser quelqu’un d’autre;
  • Faites appel à un traitement médical.
  • Discutez de la situation avec un praticien afin d’obtenir plus d’information ou de mettre à l’essai de nouvelles stratégies.

Avec la collaboration de la Clinique pour traumatismes de stress opérationnel St. Joseph’s

De quoi s’agit-il?La colère est une réaction agressive à un événement ou envers une personne.

Que faut-il faire?Si vous remarquez que la colère du membre de votre famille ou de votre ami s’intensifie rapidement, mettez fin à la conversation difficile ou délicate qui en est l’objet.

  • Essayez de demeurer calme.
  • Donnez-lui de l’espace.
  • Essayez de préserver votre sécurité et celle des personnes qui vous entourent. Toutefois, si vous vous sentez en danger ou que le membre de votre famille ou votre ami risque de se faire du mal ou de faire du mal à quelqu’un d’autre, composez le 911 pour obtenir de l’aide.
  • Pour en savoir plus : Anger and Irritability Management Skills – Veteran Training (Techniques de gestion de la colère et de l’irritabilité – Formation pour les vétérans, en anglais seul.) [va.gov]

De quoi s’agit-il? La violence conjugale, aussi appelée violence entre partenaires intimes ou violence familiale, désigne tout comportement manifesté dans une relation intime causant un préjudice physique, psychologique ou mental, pendant la relation ou après la fin de celle-ci.

Que faut-il faire?

  • Si vous croyez être en danger immédiat de subir de la violence conjugale, composez le 911;
  • Consultez la liste des lignes d’écoute en cas de crise, des refuges et d’autres mesures de soutien sur le site Web de l’organisme Ending Violence Association of Canada (en anglais seul.) ou de Tel-Aide (en français).
  • Communiquez avec les Services bien-être & moral des Forces canadiennes, qui fournissent des fiches-conseils, présentent des témoignages et fournissent du soutien pour vous aider à cultiver des relations plus saines.

De quoi s’agit-il?Les foules ou les espaces bondés peuvent déclencher et intensifier les symptômes du TSPT.

Que faut-il faire?

  • Avant de vous rendre dans un endroit bondé, convenez avec votre proche du temps que vous prévoyez y passer. • Avant de quitter la maison, entendez-vous avec lui sur un
  • Avant de quitter la maison, entendez-vous avec lui sur un endroit précis auquel vous retrouver plus tard s’il ne se sent pas bien et qu’il ressent le besoin de se retirer.
  • Vérifiez auprès de lui s’il préfère que vous vous teniez ou que vous vous assoyiez devant ou derrière lui dans une foule. Il préférera probablement que vous lui soyez visible.
  • Soyez ouvert aux compromis. Peut-être devrez-vous vous rendre seul dans des lieux bondés ou devrez-vous prévoir de telles sorties à des moments de moins grande affluence.

De quoi s’agit-il?Par « évitement », on entend toute tentative d’éviter les rappels du traumatisme. Il se peut que votre proche ne veuille pas penser ou parler de son expérience, ni sortir pour s’adonner à des activités ou voir d’autres personnes. Il est aussi possible qu’il se tienne occupé afin d’oublier un moment son expérience et de se couper des émotions qui l’envahissent.

Que faut-il faire?

  • Essayez de comprendre que l’évitement est un symptôme légitime du TSPT. Faites de votre mieux pour ne pas vous sentir visé.
  • Permettez au membre de votre famille ou à votre ami de disposer d’un espace sécuritaire où il pourra se réfugier pour contrôler ses symptômes et décompresser, au besoin.
  • Offrez-lui la possibilité de participer à des activités ou d’échanger avec d’autres personnes, en acceptant qu’il puisse refuser. Il pourrait vous surprendre et se joindre à vous.
  • Modifiez vos activités afin de respecter le niveau de confort de votre proche. Vous pouvez par exemple participer à une activité sur une plus courte période ou en présence d’un nombre de personnes plus restreint.
  • Parlez-lui de l’activité à l’avance afin qu’il puisse se préparer à celle-ci et aux émotions qu’elle peut susciter.
  • Acceptez que, pour un moment, vos liens et votre intimité se manifestent autrement dans votre relation. Le simple fait d’être tranquillement assis côte à côte avec votre proche constitue en soi une forme d’intimité.

De quoi s’agit-il? Il s’agit d’idées suicidaires ou de tentatives de mettre fin à ses jours.

Que faut-il faire?Les personnes souffrant de TSPT présentent un risque plus élevé d’entretenir des pensées suicidaires et d’adopter des comportements suicidaires. Si le membre de votre famille ou votre ami montre des signes de détresse émotionnelle, appelez le Service canadien de prévention du suicide au 1-833-456-4566. Si vous résidez au Québec, composez le 1-866-277-3553.

Si vous croyez que le membre de votre famille ou votre ami s’est infligé des blessures ou qu’il présente un danger imminent pour lui-même, composez le 911.

Le fait de souffrir d’un TSPT ne signifie pas nécessairement que le membre de votre famille ou votre ami aura des pensées ou des comportements suicidaires. Le suicide est un phénomène complexe et est rarement dû à un seul facteur. Le risque de suicide varie en fonction du vécu personnel, de la situation qui prévaut et des caractéristiques émotionnelles.

Par ailleurs, le fait d’avoir des pensées suicidaires ne signifie pas nécessairement que le membre de votre famille ou votre ami court un danger imminent de s’enlever la vie. Tentez d’évaluer s’il présente des signes précurseurs de risque imminent. En voici quelques exemples :

  • Il se montre de plus en plus imprudent dans ses actions et adopte des comportements autodestructeurs.
  • Il a planifié de manière précise où, quand ou comment il compte s’enlever la vie.
  • Il tente d’accéder à des objets dangereux ou cherche d’autres moyens de se faire du mal.

Pour en apprendre davantage sur la façon de venir en aide au membre de votre famille ou à votre ami lorsqu’il est en état de crise, consultez cettefiche infographique d’Anciens Combattants Canada (PDF).

Si vous avez établi que votre proche ne court pas de danger imminent, vous pouvez :

  • discuter avec lui ouvertement et en toute franchise de ce qu’il vit;
  • simplement parler avec lui. Avoir une discussion à ce sujet est susceptible de faire avancer les choses. Contrairement à la croyance populaire, parler du suicide n’incitera pas le membre de votre famille ou votre ami à y penser davantage, et cela ne le poussera pas non plus à passer à l’acte. Vous pouvez amorcer la discussion en lui demandant, par exemple, à quel moment il a commencé à avoir des pensées ou des comportements suicidaires. Assurez-vous d’utiliser un langage simple et positif qui témoigne de l’empathie envers lui et lui démontre qu’il n’est pas seul.

Il peut être difficile et angoissant de parler du suicide. Le Centre for Suicide Prevention (en anglais seul.) propose des ressources pour vous guider avec le langage et les termes à privilégier.

Si votre proche ne veut pas parler de ces pensées, de ces émotions et de ces comportements avec vous, n’essayez pas de lui imposer une telle discussion. Faites-lui plutôt savoir que vous êtes là pour lui et qu’il n’est pas seul. Vous pouvez également lui proposer différentes options à explorer de son côté. Notre répertoire des services propose certaines ressources qui pourraient lui être utiles.

Les enfants et les adolescents

Le TSPT peut avoir des répercussions sur tous les membres de la famille ou du cercle d’amis, y compris les enfants et les adolescents. Pour en apprendre davantage sur comment mieux soutenir les enfants et les adolescents affectés par le TSPT, consultez notre page Web concernant les enfants et les adolescents.

Ressources

L’Institut Atlas pour les vétérans et leur famille : Le traumatisme secondaire

PTSD UK : Helping Someone with PTSD(Aider un proche touché par le TSPT) [en anglais seul.]

Anciens Combattants Canada : L’ESPT et le stress lié à la guerre

National Centre for Post-Traumatic Stress Disorder (PTSD) : Sleep problems and PTSD (Les problèmes liés au sommeil et le TSPT) [en anglais seul.]

Help guide : Helping someone with PTSD (Aider un proche touché par le TSPT) [en anglais seul.]

U.S. Department of Veterans Affairs : Talking with a veteran in crisis (Parler avec un vétéran en état de crise) [en anglais seul.]

National Center on Post-Traumatic Stress Disorder : The relationship between PTSD and suicide (La relation entre le TSPT et le suicide) [en anglais seul.]

Anxiety Canada : Getting a good night’s sleep (Améliorer son sommeil) [en anglais seul.]

U.S. Department of Veterans Affairs : Path to Better Sleep (Étapes vers un meilleur sommeil) [en anglais seul.]

U.S. Department of Veterans Affairs : Anger and Irritability Management Skills (Compétences en matière de gestion de la colère et de l’irritabilité) [en anglais seul.]

Remerciements

Nous remercions la Clinique pour traumatismes de stress opérationnel St. Joseph’s pour leur précieux soutien avec les sections portant sur le sommeil et les cauchemars.

Trouver des ressources

Consultez le centre de connaissances pour trouver d’autres renseignements fondés sur des données probantes ainsi que des feuillets d’information, des rapports et des conseils.